Loïc Marimoutou
Session Février 2018 – FDFMM I
« Plus je découvre de nouvelles techniques, plus j’ai envie d’en apprendre de nouvelles. J’ai envie d’atteindre un niveau où je serais vraiment fier. »
Je m’appelle Marimoutou Loic, j’ai 27 ans. J’ai commencé des études en électronique, puis j’ai bossé en informatique en tant qu’administrateur réseau et animateur cyberbase mais le boulot ne me plaisait pas trop. J’ai voulu changer et comme j’aimais bricoler, je regardais beaucoup de vidéos sur le net sur le travail du bois. Avant de faire la formation, j’y aller à taton comme certaines vidéos étaient pas assez bien expliquées ou trop rapides, donc j’essayais à ma sauce. Avant c’était des meubles vissés de part en part, du bricolage rapide. Je pense que j’ai trouvé ma passion dans le travail du bois. Avec la formation, plus je découvre de nouvelles techniques, plus j’ai envie d’en apprendre de nouvelles et de me perfectionner jusqu’à atteindre le niveau où je serais vraiment fier.
Quand j’ai vu ton établi, j’en avais pas vu d’aussi beau et je me suis dit que j’avais envie d’en faire un pareil. Pour le contenu, on apprend tout. Pour les bricoleurs amateurs, on apprend à décocher à la défonceuse, à tout faire. Le bois déjà raboté ça coûte vachement cher alors que le bois brute c’est à la portée de tout le monde, savoir décocher est un plus.
Juste après la formation je me suis inscrit à l’afpa. Je fais que de la menuiserie pure, que du massif. De la formation, j’en retire de gros bénéfice, j’ai pu dès la première semaine me hissé en haut du classement au niveau de la formation car j’ai rapidement pu maîtriser le vocabulaire du menuisier, comprendre les normes, pour le travail à la machine stationnaire c’était plus facile. Quand tu sais travailler avec de l’électroportatif, les machines stationnaires c’est que du bonheur, travail bien fait, rapide, sans se prendre la tête.
L’autre point fort c’est la communauté. Le fait de publier ses réalisations ça nous permet de nous perfectionner davantage, de s’améliorer et de corriger ses erreurs. On s’attarde plus sur la finition.